J’aurais pu faire un long article sur mon quinzième anniversaire de mariage avec des photos inédites, des anecdotes sulfureuses, ou la sexe-tape de la nuit de noce (en super-8) pour doper l’audience. Mais non finalement, je vais aborder un problème beaucoup plus sérieux pour ce début de siècle. Non, je ne vais pas vous parler de Snowden, de la NSA, des 35 ans de taule du vainqueur du Tour de France 2012 (hein ??? c’est Manning pas Wiggins … ah ok !), des gazés de Syrie, des plombés d’Egypte … mais bien pousser un coup de gueule après mes déboires du WE chez votre vendeur de moquette préféré cité dans le titre.
Donc, petit retour en arrière : il y a trois mois mon chef de travaux me rappelle qu’il faut changer la moquette de la chambre des jumelles car la couleur ne va pas du tout avec celle de ses yeux (ou une autre raison à peu près aussi futile). Nous voilà donc lancés en direction de Vannes-Kerthomas à la recherche du revêtement de sols adéquat. Un gros coup de CB plus tard, nous rentrons à Lostihuel, ma mariée ravie et moi liquide à l’idée de me lancer dans ce chantier …
3ème semaine de vacance en juillet, jour de pluie : « Serait peut-être temps de poser la moquette, non ? ». Mince, je ne vais pas pouvoir y échapper.
Finalement, un jour de boulot et c’est bâché. Résultat nickel, tout le monde est content ! Ne reste plus qu’à poser 3 barres de seuil.
Samedi 24 août : « Hey, mes barres de seuils tu crois que je le verrai avant le cimetière ? » En plus il y a un pot de colle (à 60 €) que tu n’as pas utilisé que tu pourrais peut-être ramener. Rapia comme je suis et après un petit calcul qui mobilise pendant 10 bonnes minutes tout mon CPU je me rends compte que je dois pouvoir financer mes achats avec la colle retournée.
Me voici donc reparti du côté de ma zone commerciale favorite bien décidé à solder cette affaire.
« Bonjour monsieur, que puis-je pour vous ? » blag, blah, blah, blah « oui bien sûr nous allons vous faire un avoir ! »
et là… le drame, ouais bon ok je sais l’introduction a été un peu longue … et il faut que j’aille bosser, donc la suite demain …
