Ceux-là m’ont bien fait sourire… la misère (intellectuelle) n’est pas que chez les riches 🙂

Joyeux Noël

J’étais pourtant carrément au taquet … depuis deux jours j’attendais le créneau du 12 décembre 2017 à 16h00 (avec un sms de rappel toutes les 2 heures par le p’tit lion) !

Les consignes étaient claires : 1 pass 3 jours !
Dès 15h30 je joue du F5 sur https://www.vieillescharrues.asso.fr
A 15h56 le site est déjà à moitié en vrac

Vilain réflexe professionnel, je capture wireshark au cas où…
Heureusement, https://www.digitick.com prend rapidement le relais et m’annonce que je suis 5 817ème en file d’attente. Je fais une prière (à ma façon …), ça va être chaud. Il est 16h04.

A 16h14, je suis 11ème dans la file d’attente

16h18, c’est plié, mort, niqué … je suis en mode SNCF sur-réservation il reste -3 (oui, moins 3) pass 3 Jours et plus de Pass 4 jours

Tant pis, on ira voir Pierre Perret au camping de l’Ile Bouchard ou INdochine à Saint Nolff.
Fais péter les dollars, ça va coûter une blinde … mais c’est Noël et puis le 21/07 c’est encore Noël… et puis le 19 c’est sans doute la dernière fois que je vais voir les Gore/Gahan/Fletch

Pas eu le temps d’écrire l’article de 2014, mais pour faire le jeu des 7 différences sur l’affiche, je vous invite à consulter ce lien. Bref, il n’y a rien qui change et c’est ce qu’on apprécie.

Fin de semaine et WE très chargés entre Hack In Paris, Pas Sage En Seine et Nuit du Hack …

De bien belles rencontres et quelques moment de répit à Numa.

Je vous raconte sous peu !

Petite virée à Sauzon à l’occasion du passage de Soldat Louis sur l’Ile.

Pleine mer à 9h29 et coeff 75, c’est parfait pour mise à l’eau à Quiberon. C’est un peu la guerre sur la cale du Porigo (gratuite) car tout le monde veut profiter de la météo très favorable. On laisse la voiture et la remorque sur le parking de l’hôtel Europa… et cap au 210, on file vers Sauzon dont on distingue parfaitement la blancheur depuis le continent.

Pas moyen de monter à plus de 4 400 tr/mn car il a 1,5 à 2 m de houle devant Quiberon et le Petit Merlu tape fort. Tant pis, on va prendre le temps de naviguer au sec.

Une petite heure plus tard, on entre dans le port de Sauzon.

Les quelques derniers milles auront été parcourus à fond car devant Belle-Ile il n’y a plus de houle… et il faut bien décrasser le Mercury. Paulo rigole, le nez dans la plume…

 

Proverbe sauzonais : Quand on voit la Teignouse au téléobjectif depuis l’hôtel du Phare, … c’est que ça ne va pas durer !

Quelques urgences à gérer: embosser rapidos le Petit Merlu entre les bouées 14 et 15. Aller organiser le campement à Pen Prad… mais surtout, vite, choper 3 entrées pour le concert du soir.

Morgat en terrasse, sandwiches sur le port et après midi agricole à la Fête de la terre.

19h00 : on rallie le stade de foot de Sauzon en mode Pavillon Noir !

 

Petit diaporama du WE

 

Merci au Comité des fêtes de Sauzon. C’est bon David, je ne suis plus en mode stress.

Merci à Yann et Alex au bureau du port … et même à Mathieu qui m’a oublié sur la cale pro 🙂 Ca va être difficile de revenir cet année.

L’évènement de l’année à Sulniac. Forcément on y était … Au programme : galette saucisse, cidre, crêpes, châtaignes grillées, binious et bombardes et percussions du Bagad d’Elven. Comme d’hab, sous le soleil et dans la bonne humeur. Bravo et merci à tous les bénévoles sans qui ce genre de manifestation n’existerait plus.

Cette année, pas grand chose de neuf, mais que pourrait-on faire de plus sans dénaturer l’esprit ?

Bref, une belle fête de village sympa où chacun a pu passer un peu de temps avec ceux qu’il apprécie. Y compris le P’tit Paulo et miss Justine qui ont bien sûr profité de l’occasion pour faire une razzia sur les « barbes  à papa » pendant que leur père, justement, profitait pleinement du coucher de soleil à la buvette.

Bon maintenant Manu, va falloir que tu rentres (même s’il n’y a pas de larmes plein ta bière) car même Pierrot Le Droguenne et Joël Labbé ont quitté le site 🙂

Rendez-vous en 2014.

 

On n’a pas gagné … 🙁

 Mais on est super content car on s’est bien battu, hein ??? Rien à redire : Manon, Hania et Sélune étaient meilleures que nous cette année et on ne peut que les féliciter !

4^ème place donc… mais 1^er binôme fille/père. Et meilleur classement pour Lostihuel Braz. J’ai du bol car si j’avais du courir avec les gars ça aurait été une autre paire de manches… (d’ailleurs, je n’ai vu ni Jean-Marc LC. ni Yann B.  😎 )

Franchement, j’en ai ch… comme un russe d’avant Gorbatchev. Et j’ai dû me faire  mal pour ne pas me faire doubler par Margaux. Elles galopent comme des furieuses, au départ les miss. Bref, un bon coup de fouet d’une dizaine de minute et 2 320 mètres pour le vendredi matin.

En tout cas, bravo à toutes et à tous. Super ambiance sportive dans la cadre sympa de Célac. Ça fait plaisir de voir que nos petits ne sont pas si débiles qu’il y paraissent parfois : j’en ai pas vu avec un mobile ! 

J’espère juste qu’ils ne vont pas choper la crève car la vilaine petite pluie froide à fait son retour.

Allez, la récréation est terminée… au boulot.

Bravo à toutes les p’tites miss et aux p’tits mecs de JL Chretien pour leur grande sportivité. J’ai passé une super matinée avec tous ces affreux. Merci aussi aux profs d’EPS de nous associer à ce genre de manip et rendez-vous en 2014 où il faudra que je cours aussi avec les 6^èmes de mon petit Paulo (euhhh… trop la honte).

 

 

 

15 ans de mariage méritaient bien une petite sortie originale, non ?

Très bien le menu « En toute confiance » avec vins assortihipppppssssssssssssss … Pour mémoire, ce qu’o an bu et accessoirement mangé

 

• Anjou blanc (carpaccio de foie gras et figues)
• Côtes de la Drôme blanc (dos de maigre au jus de veau, mousse de petit pois)
• Roussette de Savoie (homard et crabe)
• Coteaux du Var rouge (carré d’agneau)
• Grâves blanc (sorbet de Sainte Maure)
• Juranson (fruits rouges)
• Champagne (fondant chocolat/café)

C’est qui qui conduit (Billier/Berric/Lostihuel)?

A peine rentrés de Lorient, où les croissants furent les bienvenus pour un retour à une alimentation solide, nous descendons de la Butte après avoir récupéré les petits squatteurs (rapidement refourgués à Floriane&Laurent) et filons place de l’église. Mince, c’est cuit pour le premier service … va falloir temporiser autour d’un verre.

Comme d’hab, le F.I.L. nous aura amené son lot d’émotions fortes.

Après une traversée Pen Mané / Lorient qui nous aura permis de disserter sur le futur péristyle à 22 m€ et une halte traditionnelle jarreton/andouille patates au village Celte, on rallie l’Espace Marine. Cerise sur le gâteau cette année avec le concert de Sinead O’Connor, comme pour assurer la transition avec le FIL 2014 dont l’Irlande sera l’invitée. Enorme, comment ce petit bout de bonne femme peut véhiculer une telle énergie. P… de gros son: Magnifique et surpuissant « Queen of Denmark » ( qui ne peut que donner envie de découvrir John Grant). On a bouffé des décibels et frissonné au rythme du dernier album et des reprises de l’artiste toujours aussi perfectionniste et carrément habitée ! Quelle voix, superbement accompagnée de sa bassiste et de la miss à la guitare folk.

Une fois n’est pas coutume, très bonne synthèse de l’évènement dans Le Parisien de ce jour :

Pour la dernière soirée, dans la nuit de samedi à dimanche, la ville portuaire accueillait l’enfant terrible de la musique celte, Sinéad O’Connor, le crâne toujours rasé, revenue en grâce auprès de la critique avec la sortie en 2012 de son album « How about I be me (And you be you) ? ».

Tandis que le public l’appelait, l’excentrique Irlandaise sautait sur place en coulisses, comme un boxeur s’échauffant, ou une enfant impatiente. A 46 ans, le personnage tient toujours un peu des deux, mélange de force et de fragilité, de douceur et de douleur extrêmes.
Le corps menu englouti dans une robe rouge sombre, un peu gothique, boutonnée jusqu?au col, la chanteuse a ouvert le concert avec une reprise poignante de « Queen of Denmark » de John Grant, avant de dérouler son répertoire rock, pop et folk sans oublier « Nothing compares 2 U », le tube qui la propulsa dans la cour des grands en 1990.
Mais c’est sur une note religieuse que s’est achevé le concert de la chanteuse, laquelle fit scandale en 1992 en déchirant la photo du pape, avant d’être ordonnée « prêtresse » d’une église irlandaise dissidente. Avec son interprétation a capella du dernier couplet « Before we end our day », Sinéad O’Connor a prouvé qu’elle sait encore faire frémir les foules.

Il nous aura alors fallu quelques pintes de Guiness et de Leffe pour nous en remettre. La folie furieuse décalée des Spams qui se déchainent devant le Maryland (ouais, on fait des infidélités au 21 Café cette année) nous a aussi bien aidé et fait bouger le Quai de Rohan (ça pogotte sur un mix énergique d’Emilie de Joe Dassin / Dans la maison Vide de Polnareff).

Fin des hostilités à 4h30 histoire de récupérer un peu avant la redoutable Jésus Party du lendemain à Gâvres, après une étude ethnologique rapide sur l’influence de la mousse sur la désinhibition avec étude des cas concrets 🙂

Merci à Christophe et Céline pour le WE.