Archive | Jeanne d’Arc

Mission Jeanne d’Arc 2012 : c’est parti pour 5 mois

5 mars 2012, ciel azur et fort mistral, la mission Jeanne d’Arc 2012 appareille avec quelques nouveautés:

  • un départ de Toulon qui a déjà fait couler beaucoup d’encre et de salive
  • la participation du dernier BPC, le Dixmude, après respectivement celle des Tonnerre et Mistral en 2011 et 2010

Ci dessous, les liens des ressources trouvées le web (chaque article repris sur ce site pointe vers l’original) :

  • Long article sur le site de la Marine nationale (ci-dessous)
  • Courte vidéo sur le site de France 3 Edition Locale Var
  • Journaux de bord de la FASM Georges Leygues et du BPC Dixmude
  • Article de Mer&Marine et diaporama de Jean-Louis Vennes (ci-dessous)
  • Diaporama Facebook

et pour repère la carte de la mission.

 

Mer&Marine : Le groupe Jeanne d’Arc appareille de Toulon

Le BPC Dixmude appareillant de Toulon, hier après-midi

Le BPC Dixmude appareillant de Toulon, hier après-midi

 

Le bâtiment de projection et de commandement Dixmude, ainsi que la frégate anti-sous-marine Georges Leygues ont appareillé hier après-midi de Toulon. C’est avec un vent soufflant à plus de 100 km/h en rafales et une mer formée que les deux navires ont quitté la base navale pour débuter la mission Jeanne d’Arc. Ce déploiement annuel, instauré en 2010 à l’occasion du désarmement du porte-hélicoptères Jeanne d’Arc, ancien bâtiment école de la Marine nationale, en est donc à sa troisième édition. Les deux années précédentes, les BPC Tonnerre et Mistral y avaient participé, également accompagnés du Georges Leygues. Comme le faisait autrefois la Jeanne, les deux premières missions étaient parties de Brest. Cette année, pour la première fois, le départ était toulonnais. Les 144 officiers-élèves, qui profitent du déploiement pour réaliser leur stage d’application à la mer, ont donc rejoint le port varois pour monter à bord du Dixmude, qui les débarquera à Brest au mois de juillet (ndLM en principe le 25). Comme le veut la tradition, les familles pourront donc les accueillir à la pointe Bretagne à l’issue de leur premier grand embarquement. On notera d’ailleurs, toujours pour le côté traditionnel, que les hallebardes gardant l’entrée du bureau du commandant et la flamme de guerre de l’ex-Jeanne d’Arc ont été remises au pacha du Dixmude, le capitaine de vaisseau Guillaume Goutay, lors d’une cérémonie à laquelle a assisté Marc Laffineur, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Défense et des Anciens combattants, ainsi que plusieurs officiers généraux, dont l’amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la marine. En effet, ces objets sont désormais transmis, chaque année, au BPC qui reprend les traditions de l’ancienne Jeanne d’Arc.

Le BPC Dixmude

Le BPC Dixmude

La FASM Georges Leygues et l'EDAR 2

La FASM Georges Leygues et l'EDAR 2

Marc Laffineur, secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Défense et des Anciens combattants et l'amiral Bernard Rogel, chef d'état-major de la Marine

Marc Laffineur, secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Défense et des Anciens combattants et l'amiral Bernard Rogel, chef d'état-major de la Marine

Bloc Officiers-Elèves EN 2009

Bloc Officiers-Elèves EN 2009

La hallebarde de la Jeanne remise au capitaine de vaisseau Guillaume Goutay

La hallebarde de la Jeanne remise au capitaine de vaisseau Guillaume Goutay

Un groupe interarmées

Durant près de cinq mois, les officiers-élèves seront intégrés aux équipages du BPC et de la frégate. La « promotion » est constituée de 94 enseignes de vaisseau de l’Ecole navale (promo EN 2009) ou recrutés sur titre, 8 commissaires-élèves, 6 administrateurs des Affaires maritimes, 9 médecins des armées, ainsi que 15 officiers-élèves et un commissaire-élève étrangers venant d’Allemagne, de Belgique, du Bénin, du Brésil, du Cameroun, d’Espagne, du Gabon, d’Indonésie, du Koweït, de Madagascar, de Malaisie, du Maroc, du Royaume-Uni, du Togo et de la Tunisie. « Plongés au cœur du métier de marin dans un contexte opérationnel, ils auront l’occasion de développer leur sens du travail en équipe et d’affirmer leur capacité de prise de décision, inhérente au métier d’officier de marine », explique la Marine nationale. Ils évolueront également dans un cadre interarmées, le BPC accueillant aussi un groupement tactique embarqué (GTE) de l’armée de Terre, comprenant 210 hommes et des véhicules, dont des blindés. Cette composante de la 9ème brigade légère blindée d’infanterie de marine est notamment constituée d’une compagnie d’infanterie du 2ème régiment d’infanterie de Marine du Mans, un peloton de cavalerie légère blindée du régiment d’infanterie-char de Marine de Poitiers, une section mortier de 120 mm du 11ème régiment d’artillerie de Marine de La Lande d’Ouée et une section de sapeurs de Marine du 6ème régiment du génie d’Angers. «Le déploiement du groupe amphibie Jeanne d’Arc est une mission interarmées à vocation de préparation opérationnelle. Pour le groupement tactique embarqué, il s’agit de s’entraîner aux opérations amphibies, dans un cadre national ou international» explique le lieutenant colonel Carpentier, commandant du GTE.

Gazelle et Puma de l'ALAT

Gazelle et Puma de l'ALAT

Alouette III

Alouette III

Engin de Débarquement Amphibie Rapide (EDAR)

Engin de Débarquement Amphibie Rapide (EDAR)

Chaland de Transport de Matériel (CTM)

Chaland de Transport de Matériel (CTM)

 

 

Un EDAR, Deux CTM et 5 hélicoptères

La mission Jeanne d’Arc n’a, en effet, pas uniquement pour but de former les élèves à la mer. Il s’agit d’un véritable déploiement opérationnel, les bâtiments étant amenés à évoluer dans des zones sensibles et à participer à différentes missions, comme la lutte contre la piraterie et les trafics illicites, la surveillance maritime et, éventuellement, la projection de force, l’évacuation de ressortissants ou l’aide humanitaire. Pour les opérations de débarquement, le Dixmude, livré en janvier à la marine, embarque le second engin de débarquement amphibie rapide (EDAR) de la flottille amphibie, ainsi que deux chalands de transport de matériel (CTM). Le groupe aérien du BPC est, quant à lui, constitué de 5 hélicoptères, soit une Alouette III de l’aéronautique navale, ainsi que deux Puma et deux Gazelle de l’Aviation légère de l’armée de Terre (ALAT).
Dès demain, tous ces moyens doivent être engagés dans un exercice amphibie au large de la Corse. Le groupe Jeanne d’Arc mettra ensuite le cap vers la Méditerranée occidentale puis, via le canal de Suez, la mer Rouge et l’océan Indien, avant de gagner l’Atlantique au printemps, de passer par l’Amérique latine et le golfe de Guinée, avant de revenir en France cet été. Plusieurs escales sont prévues, notamment en Afrique du sud et au Brésil. A l’occasion de ce déploiement, le premier pour le Dixmude et l’EDAR 2, le groupe Jeanne d’Arc sera intégré à plusieurs opérations, notamment Atalante (lutte contre la piraterie) au large de la Somalie et Corymbe (présence permanente en Afrique de l’ouest).

Sacrifiez-vous, Tenez !

Sacrifiez-vous, Tenez !

-> article original : Mer&Marine, Photos : Mer&Marine, Jean-Louis Vennes

Départ de la Mission « Jeanne d’Arc 2012 »


Le 5 mars 2012, M. Marc Laffineur, secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense et des Anciens combattants, l’amiral Bernard Rogel, chef d’État-major de la Marine et de nombreuses autorités civiles et militaires se sont rendus à bord du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude pour la cérémonie de départ de la Mission «Jeanne d’Arc 2012». Appareillage de Toulon pour une mission de formation des officiers-élèves de l’École navale et de l’École des officiers du commissariat de la Marine qui durera près de 5 mois.

La Mission «Jeanne d’Arc» est un déploiement à plusieurs dimensions. Former les officiers de Marine de demain, les mettre en condition opérationnelle au sein des équipages mais également expérimenter les capacités militaires du BPC Dixmude pris en charge par la Marine le 3 janvier 2012 ainsi que celles du tout nouvel engin de débarquement amphibie rapide (EDAR).

La Mission «Jeanne d’Arc» est également l’occasion pour le groupement tactique embarqué de s’entraîner aux opérations amphibies loin des côtes françaises, en coopération avec des forces armées étrangères.

Enfin, les officiers-élèves prendront pleinement part aux activités opérationnelles assignées aux unités du groupe Jeanne d’Arc, durant la participation du groupe à l’opération européenne de lutte contre la piraterie Atalante ou l’opération Corymbe de pré-positionnement permanent d’une unité de la Marine dans le Golfe de Guinée.

 

 

Officiers-Elèves avant appreillage

Officiers-Elèves avant appareillage

Garde d'honneur du Dixmude

Garde d'honneur du Dixmude

L'amiral Rogel et M. Laffineur à bord du Dixmude

L'amiral Rogel et M. Laffineur à bord du Dixmude

Remise de la hallebrade de la Jeanne

Remise de la hallebarde présente auparavant sur la Jeanne d'Arc

M. Marc Laffineur et l'amiral Bernard Rogel passent les troupes en revue

M. Marc Laffineur et l'amiral Rogel passent les troupes en revue

Ecusson Devise du Dixmude

Écusson présentant la devise du Dixmude: Sacrifiez-vous, Tenez !

Le Dixmude sous le pont de Saint Nazaire

Le Dixmude sous le pont de Saint Nazaire

Le bâtiment de projection et de commandement Dixmude prend le large

Depuis février 2011 et l’arrivée du noyau d’équipage à Saint-Nazaire sur le chantier du Dixmude, «tout n’a fait que s’accélérer» avoue le CV Guillaume Goutay, commandant le groupe Jeanne d’Arc 2012 et le BPC Dixmude . Le challenge du suivi de la construction, du déroulement des premiers essais à la mer et de la finition du BPC avec 4 mois d’avance sur le programme fut une source de satisfaction intense pour le pacha du dernier né de la Marine.

«La Mission Jeanne d’Arc 2012 aussi est emblématique» confie le CV Guillaume Goutay. «Elle a su adapter son calendrier à celui du BPC fraîchement pris en charge par la Marine le 3 janvier dernier et dont la qualification opérationnelle est obtenue 3 semaines avant l’appareillage, elle commence son programme de formation à terre à Lanvéoc en se concentrant sur le volet académique, elle transforme la mission de formation en véritable « mise en condition opérationnelle » pour les officiers-élèves, elle appareille de Toulon» .

Le CV Goutay, issu de la promotion 87 de l’ École navale, ne cache pas sa fierté et son enthousiasme à commander ce groupe à la dimension résolument interarmées, «hétérogènes de prime abord, mais dont la motivation pour le succès de la mission est forte». Son rôle: «faire travailler en harmonie toutes les composantes du groupe Jeanne d’Arc, un challenge passionnant».

Retour de mission de la fregate Georges Leygues le 03-08-2011

Retour de mission de la fregate Georges Leygues le 03-08-2011

La frégate anti-sous-marine Georges Leygues , l’ange-gardien du groupe Jeanne d’Arc

«Au plan opérationnel, le Georges Leygues assure la fonction d’escorteur du BPC et donc sa protection contre les menaces potentielles, au-dessus et en-dessous du dioptre, même s’il peut être éventuellement détaché pour remplir des missions spécifiques sur un théâtre, selon les besoins du contrôleur opérationnel» explique le CF Jean-Marin d’Hébrail, commandant la Fasm Georges Leygues .

«Du point de vue pédagogique» précise-t-il, «sa présence aux côtés du BPC permet de réaliser des indispensables exercices conjoints entre les deux bâtiments que sont les manœuvres nautiques (présentation pour le ravitaillement à la mer, navigation en convoi) et tactiques (dispositif de défense contre les différentes menaces, échanges d’information et transmissions d’ordres, etc.)» . Concrètement, un quart de la promotion des officiers-élèves embarque à tour de rôle sur le Georges Leygues sur des périodes de mer d’une dizaine de jours. À bord, la formation est axée sur la pratique où ils seront repartis entre les différentes fonctions de quart (en passerelle de navigation, en machines, au central opérations…) et les chaînes fonctionnelles et se voient enseigner in situ le travail qui leur sera demandé en tant que futurs chefs de service ou capitaine de compagnie.

Enfin, l’avantage indéniable pour les officiers-élèves est de naviguer à bord de deux bâtiments particulièrement complémentaires. «D’un côté le BPC, bâtiment d’exception, moderne, convoité par de nombreux pays, très sollicité dans les conflits actuels et fer de lance des opérations interarmées qui constituent la norme aujourd’hui» décrit le CF d’Hébrail. «De l’autre, le Georges Leygues, un bâtiment plus ancien, rustique et peu automatisé mais doté de tous les senseurs et armements représentatifs de nos frégates, excellent cadre pédagogique de début de carrière» conclut-il.

Le stage d’application à la mer, une mise en condition opérationnelle des officiers-élèves

Le CF Etienne Knapp, directeur de l’école d’application des officiers de Marine, aborde avec enthousiasme, humilité et ambition la Mission «Jeanne d’Arc 2012». «Enthousiasme de côtoyer des jeunes officiers impatients de commencer leur vie professionnelle» confie tout d’abord le CF Knapp, «humilité ensuite, face à leur exigence et à nos propres lacunes et ambition enfin, de terminer la formation initiale des futurs cadres de la Marine, de participer à leur orientation professionnelle et de les amener plus haut que là où nous sommes».

Comme il aime à le présenter, la formation n’est pas l’apanage de la structure légère qui embarque avec les officiers-élèves. «Chaque membre d’équipage s’investit dans leur formation, une formation qui dépasse l’enseignement nécessaire de connaissances techniques mais s’attache d’abord à apporter aux jeunes officiers la force morale qui leur permettra de commander et d’être commandé ».

La Mission «Jeanne d’Arc» ne saurait se réduire à la réalisation d’heures de quart et à l’organisation de cours. Pour cette raison, le volume des cours formels organisés en mer a baissé de 30%. Le temps libéré permet d’intégrer les jeunes officiers au sein des équipages. «Il ne s’agit pas de transmettre moins de connaissances, mais de les transmettre de façon différente» explique le CF Knapp

Essais EDA-R du-16.11.11-48

Essais EDA-R du-16.11.11-48

La flottille amphibie déploie le tout nouvel engin de débarquement amphibie rapide (EDAR) et deux chalands de transport de matériel (CTM).

La présence d’un détachement de la Flophib (flottille amphibie) et la programmation de nombreuses activités à dominante amphibie permettent de sensibiliser fortement les officiers-élèves sur les spécificités de ces opérations, qui ne leur sont pas enseignées de manière académique. «En côtoyant les équipes de reconnaissance de plage et les équipages d’engin de débarquement amphibie» décrit le lieutenant de vaisseau Vincent Boulier, commandant la flottille amphibie, «ils appréhenderont le «dur» de l’amphibie, c’est-à-dire du radier à la plage : des environnements déjà très particuliers et très complexes, tout en transportant une autre armée».

La Mission «Jeanne d’Arc 2012» a également la particularité d’être le cadre idéal à la vérification des caractéristiques militaires de l’EDA-R, en raison de la variété des espaces aéromaritimes et des zones de déploiement traversées, qui «permettra sans aucun doute d’éprouver l’EDA-R dans de nombreuses situations» se réjouit le LV Boulier pour qui l’EDA-R est «un engin révolutionnaire dont [il attend] surtout de pouvoir montrer tout son potentiel, dans les opérations amphibies comme dans d’autres missions où il pourrait s’avérer également très utile»…

L’ Alouette III , fidèle au groupe Jeanne d’Arc

Depuis la première campagne du porte-hélicoptères Jeanne d’Arc , les hélicoptères Alouette de la Marine nationale embarquent pour la formation des officiers-élèves. «L’hélicoptère est un moyen privilégié du bâtiment pour avoir une vision élargie de la situation navale» explique l’EV1 Johanne Dupont, chef du détachement de l’escadrille 22S.

Alouette III

Alouette III

L’emploi d’un hélicoptère permet de faire découvrir le travail aéro-maritime aux officiers-élèves et d’entraîner les marins des deux bâtiments du groupe Jeanne d’Arc aux opérations (comme la visite de bâtiment, la lutte contre la menace aérienne…).

Les personnels navigants de l’aéronautique navale et les membres du détachement sont des spécialistes du milieu aéro-maritime et habitués aux contraintes liées à l’emploi d’un hélicoptère dans le milieu maritime.

Ainsi, le détachement de l’escadrille 22S fait également office de «guide» auprès des détachements embarqués des autres armées comme celui de l’ALAT (Aviation légère de l’armée de Terre), composé de 2 Puma et 2 Gazelle .

Enfin, conclut l’EV1 Dupont, «la vie d’un détachement embarqué revêt plusieurs facettes qu’il va être intéressant d’aborder auprès des officiers-élèves notamment : la formation des pilotes et des membres d’équipages, le travail conjoint avec le bâtiment pour le maintien des qualifications de chacun ainsi que des aspects plus organiques et relationnels comme la gestion du personnel et le maintien du lien entre le détachement embarqué et son unité organique» .

L’amphibie, terrain de coopération entre marins et des terriens : «l’interarmées, une évidence qui ne peut que se renforcer»

La participation de l’armée de Terre a été initiée dès le premier déploiement de la Mission «Jeanne d’Arc» sur BPC en 2010. C’était alors à bord du BPC Tonnerre . Le LCL Carpentier, commandant le groupe tactique embarqué de la Mission «Jeanne d’Arc 2012» y était et revient pour cette 3ème édition. «Le déploiement du groupe amphibie Jeanne d’Arc est une mission interarmées à vocation de préparation opérationnelle. Pour le groupement tactique embarqué (GTE), il s’agit de s’entraîner aux opérations amphibies, dans un cadre national ou international» .

L’action du GTE auprès des officiers-élèves consiste donc à montrer les capacités de l’armée de Terre, ses savoir-faire et permettre d‘appréhender les contraintes propres à chaque armée. «La 9 ème brigade d’infanterie de marine a effectivement vocation à intervenir depuis la mer et développe une expertise dans le domaine de l’amphibie en s’entraînant régulièrement avec la Marine nationale comme avec les marines étrangères et notamment celle de Grande-Bretagne» précise le LCL Carpentier.

La brigade du «grand Ouest» comme on l’appelle fournit les éléments du GTE de la Mission «Jeanne d’Arc 2012» avec notamment une compagnie d’infanterie du 2ème régiment d’infanterie de Marine du Mans, un peloton de cavalerie légère blindée du régiment d’infanterie-char de Marine de Poitiers, une section mortier de 120 mm du 11ème régiment d’artillerie de Marine de La Lande d’Ouée et une section de sapeurs de Marine du 6ème régiment du génie d’Angers.

EV1 Marine Monjardé

Sources : © Marine nationale

Posted in D 640 Georges Leygues, Jeanne d'Arc, L 9015 Dixmude1 Commentaire

Les marsouins du 2e RIMa avec les officiers élèves de l’Ecole navale

Lundi, plus de 200 militaires de la 9ème Brigade d’Infanterie de Marine quitteront Toulon pour une mission de 5 semaines à bord du Bâtiment de projection et de commandement Dixmude, le navire qui embarque le stage d’application à la mer des officiers-élèves de l’Ecole Navale, la campagne Jeanne d’Arc.
110 marsouins de la 4éme compagnie du 2ème RIMa d’Auvours seront renforcés par des militaires du Régiment d’Infanterie Chars de Marine de Poitiers, du 11ème régiment d’Artillerie de Marine de la Lande d’Ouée et du 6ème Régiment du génie d’Angers. Ils constituent l’essentiel de la composante terrestre embarquée du groupement amphibie déployé en méditerranée pour la période concernée.
Le détachement participera à l’instruction des officiers-élèves en effectuant des manœuvres amphibies techniques et tactiques avec ses 50 véhicules (VAB, AMX 10RC, VBL, GBC…) en Corse, au Liban puis à Djibouti, où il séjournera jusqu’à fin avril pour un entraînement en zone désertique.

Le retour des marsouins est prévu avant les journées portes ouvertes du 2ème RIMa qui se dérouleront le samedi 19 et le dimanche 20 mai au camp d’Auvours à Champagné.

 

Extrait de Le Maine libre du vendredi 02 mars 2012

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Journal de bord du Georges Leygues

1er mars 2012 : Mise à l’eau du poisson !

Photo/crédits/ ASP Ledru

Photo/crédits/ ASP Ledru

Le « Georges Leygues » continue son transit vers Toulon et c’est avec une mer calme et un magnifique soleil que les différents services du bâtiment poursuivent leurs entraînements. La matinée fut consacrée, entre autres, à la mise à l’eau du sonar remorqué afin de le tester et de le paramétrer.

L’après-midi a été mise à profit pour la validation de qualification des pilotes de l’alouette III. Cette activité fut suivie par un exercice de sécurité mené par les officiers-élèves. En fin de journée, tout le bord a été convié à une séance de sport sur le pont d’envol du bâtiment, dispensée par les fusiliers marins du bord.

Photo/crédits/ ASP Ledru

Photo/crédits/ ASP Ledru

 

29 février 2012 : Détroit de Gibraltar en vue

 

Equipement NBC

Equipement NBC

Ce mercredi 29 février, alors que nous nous rapprochons du détroit de Gibraltar, dont la traversée est prévue cette nuit, l’équipage du Georges Leygues a effectué un exercice majeur de réaction à une explosion nucléaire proche de la zone de patrouille du bâtiment.

La matinée fut consacrée aux formations individuelles et à la prise des mesures préparatoires matérielles à la traversée d’un nuage radioactif.

L’exercice a ensuite eu lieu de 15h à 17h, en grandeur nature.

Situation NBC à la passerelle

Situation NBC à la passerelle

 

Par FASM Georges Leygues le jeudi,  1 mars 2012, 22:30


28 février 2012 : Un début de mission actif !

 

Cette deuxième journée à la mer a été marquée par une intense activité.

Officiers-Elèves à bord du Georges Leygues

Officiers-Elèves à bord du Georges Leygues

La matinée a débuté par des mouvements d’hélicoptères VERTREP (treuillage de charge par hélicoptère) destinés à la qualification d’un jeune pilote de l’Alouette III. Ces treuillages furent l’occasion de mener un exercice de sécurité (SECUREX) de type crash hélicoptère. Cet exercice a permis aux OE ainsi qu’à l’ensemble de l’équipage de prendre ses marques et d’apprendre à travailler ensemble.

Pompiers lourds

Pompiers lourds

Le cap Finisterre fut franchi aux alentours de midi, nous approchant du détroit de Gibraltar que nous devrions franchir mercredi. Cet éloignement des côtes a été mis à profit pour procéder à plusieurs séances de tirs de mitrailleuses 12,7mm. La journée se termine par un magnifique coucher de soleil à la mer et un repos bien mérité avant les nombreuses activités du lendemain !

Préparation de bandes de munitions de 12,7 mm

Préparation de bandes de munitions de 12,7 mm

 


27 février 2012 : Le « Georges Leygues appareille »

 

Les familles des marins de la frégate « Georges Leygues » étaient venues en grand nombre pour saluer le départ en mission du bâtiment brestois.

FASM Geroges Leygues

FASM Geroges Leygues

C’est en effet hier, le 27 février, que le « Georges Leygues » a appareillé afin de rejoindre le BPC Dixmude à Toulon pour le grand départ de la mission Jeanne d’Arc le 5 mars. Mission opérationnelle de 5 mois qui emmènera entre autres 140 officiers élèves « loin, longtemps, en mission et en équipage ».

A la coupée du Georges Leygues

A la coupée du Georges Leygues

De nombreuses autorités étaient également présentes aujourd’hui : le vice amiral d’escadre Magne (amiral commandant la force d’action navale), le contre amiral de Briançon, commandant l’Ecole Navale et le commissaire général Parlange (commandant du groupement de soutien de la base de Défense Brest-Lorient) et le capitaine de vaisseau Demeocq, adjoint à Brest du VAE Magne.

FASM Georges Leygues

FASM Georges Leygues

Sur ce premier transit entre Brest et Toulon les marins du « Georges Leygues » accueillent et forment trente et un élèves de la spécialité ENERG (énergie) de l’Ecole Navale.

Par FASM Georges Leygues le mardi, 28 février 2012, 19:58

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La frégate Georges Leygues appareille pour la mission Jeanne d’Arc 2012

La frégate anti sous-marine (FASM) Georges Leygues a appareillé lundi 27 février à 14h30 de la base navale de Brest afin de rallier Toulon et prendre part à la mission Jeanne d’Arc 2012.

Le transit de 3 jours vers Toulon est l’occasion pour la frégate brestoise et ses 240 marins de s’entraîner, notamment avec le détachement de l’escadrille 22 S, embarqué pour toute la mission.

Le Groupe amphibie composé du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude et de la FASM Georges Leygues quittera la base navale de Toulon le 5 mars pour un déploiement de 5 mois. Les 144 officiers-élèves de l’ École navale et de l’ École du commissariat de la Marine suivront ainsi leur stage d’application à la mer dans un contexte interarmées et interalliés en océan indien et en océan Atlantique sud.

EV1 Aude Flambard (site de la Marine nationale le 28/02/2012 à 16:32)

Le Georges Leygues devant le Portzic

Le Georges Leygues devant le Portzic


 

 

 

 

 

 

 

 

 

Non, ce n'est pas Paul qui pigne sur l'épaule de sa mère !

Non, ce n'est pas Paul qui pigne sur l'épaule de sa mère !

Bon vent ...

Bon vent ...


 

 

 

Le Georges Leygues appareille  (cliquer sur l'image pour voir la vidéo)

Le Georges Leygues appareille (cliquer sur l'image pour voir la vidéo)

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Mission Jeanne d’Arc. Le Georges Leygues est parti cet après-midi

Pour la première fois de son histoire, la mission Jeanne d’Arc partira officiellement de Toulon mais reviendra cet été à Brest, à la fin du mois de juillet. Afin de rallier le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude, la frégate Georges Leygues a appareillé lundi après-midi de Brest. Les deux navires (la première mission pour le tout nouveau Dixmude) quitteront Toulon le 5 mars prochain.

Les images de Stéphane Jézéquel dans Le Telegramme du  27/02/2012 à 15h23

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Le Georges Leygues quitte Brest pour la mission Jeanne d’Arc

La frégate Georges Leygues au départ de Brest.

La frégate Georges Leygues au départ de Brest.

Ce lundi après-midi, la frégate Georges Leygues a quitté Brest pour Toulon. 240 personnes sont à bord, dont 31 élèves officiers. Ils rejoignent dans le port méditerranéen le Bâtiment de projection et de commandement Dixmude. Ces deux bâtiments de la Marine nationale constitueront le groupe école de la mission Jeanne d’Arc, comptant 144 élèves. Ils vont passer un peu moins de cinq mois en mer, du golfe d’Aden (mission Atalante) à Dakar, en passant par Le Cap, Rio de Janeiro et une mission de surveillance des trafics dans le golfe de Guinée. « Nos escales sont soumises aux aléas des priorités opérationnelles, toutefois Le Cap et Rio de Janeiro sont assurées, la mission Jeanne d’Arc reste toujours un excellent ambassadeur », a souligné le capitaine de frégate Jean-Marin d’Hébrail, commandant du Georges Leygues.

Moins de coktails et plus de missions opérationnelles. C’est en résumé l’esprit de cette nouvelle campagne où la lutte contre la piraterie occupera un rôle important. Elle quittera Toulon le 5 mars et reviendra à Brest le 25 juillet.

Ouest-France Défense lundi 27 février 2012

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Départ lundi pour la mission Jeanne d’Arc 2012

Lundi, la Frégate anti sous-marine (FASM) Georges Leygues appareillera de la base navale de Brest, afin de rallier Toulon et prendre part à la mission Jeanne d’Arc 2012. Le Groupe amphibie composé du Bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude et de la FASM Georges Leygues quittera la base navale de Toulon le 5 mars pour un déploiement de cinq mois. Les 144 officiers-élèves de l’Ecole navale et de l’Ecole du commissariat de la Marine suivront ainsi leur stage d’application à la mer dans un contexte interarmées et interalliés dans l’océan Indien et l’océan Atlantique sud

From « Le Télégramme » 23 février 2012 à 11h24

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Mission Jeanne d’Arc : départ le 5 mars des futurs officiers de Marine

Le Dixmude sous le pont de Saint Nazaire

Le Dixmude sous le pont de Saint Nazaire

Les élèves officiers de la Marine nationale partiront de Toulon. Retour à Brest fin juillet, après les fêtes maritimes.

Pour la première fois en cent ans, la mission Jeanne d’Arc ne partira pas de Brest en 2012, mais de Toulon. La Marine a dévoilé le programme de cette formation des futurs officiers de Marine, dont la plupart sont à l’École navale de Lanvéoc. La campagne n’a plus lieu à bord du porte-hélicoptères Jeanne d’Arc, désarmé en 2010.

Elle en garde le nom, symbolique, mais s’effectue désormais à bord des Bâtiments de projection et de commandement (BPC), bien plus modernes, basés à Toulon. Cette année, le groupe sera composé du BPC Dixmude, tout juste opérationnel, et de sa conserve, la frégate anti-sous-marine Georges Leygues (basée à Brest).

Plus d’opérations, moins d’escales

Départ le 5 mars de Toulon. À bord, 144 élèves dont 21 femmes. En mars-avril : préparation en Méditerranée. Avril-mai : déploiement au large de la corne de l’Afrique (lutte anti-piraterie). En mai et juin : escales au Cap (Afrique du Sud) et Rio de Janeiro (Brésil) pour des « missions de coopération et de diplomatie de défense » (promotion notamment du matériel militaire français). Puis, déploiement dans le golfe de Guinée (piraterie, trafics de drogue), escale à Dakar (Sénégal) et retour à Brest fin juillet, après les fêtes maritimes des Tonnerres de Brest. Voir la carte.

« Il s’agit pour ces futurs officiers d’acquérir une stature de chef militaire et d’homme de mer », indique la Marine nationale. L’occasion aussi de découvertes culturelles et d’échanges diplomatiques.

Voir la vidéo du dernier retour à Brest du porte-hélicoptère Jeanne d’Arc.

 

Extrait de Ouest-France du samedi 18 février 2012

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Mission Jeanne d’Arc: le Dixmude et le George Leygues prêts au départ

Le BPC Dixmude

Le BPC Dixmude

144 officiers-élèves s’apprêtent à embarquer près de cinq mois sur le Dixmude flambant neuf et le Georges Leygues pour une mission de formation en déploiement opérationnel.

 

Après trois ans sur les bancs de l’école, les officiers élèves (OE) vont pouvoir peaufiner leurs connaissances grâce au stage d’application à la mer. En effet, le 5 mars 2012, 144 OE partiront de Toulon à bord du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude, ainsi qu’à bord de la frégate antisous-marine (Fasm) Georges Leygues. Il s’agit de la troisième mission de formation en déploiement à bord d’un BPC de classe Mistral depuis le retrait du service actif du bâtiment-école Jeanne d’Arc en 2010.
Apprendre à travailler ensemble Les fonctions inhérentes au Dixmude en font un très bon outil de professionnalisation pour les futurs officiers de marine. L’avantage d’utiliser un BPC pour instruire les OE réside avant tout dans la coexistence des différents corps d’officiers au sein d’une même mission. À la fois porte-hélicoptères, bâtiment amphibie, plate-forme de commandement et bâtiment hôpital, le Dixmude permet donc à chacun de mettre en pratique les acquis reçus.
De plus, la mise à disposition d’une frégate d’accompagnement tel que le Georges Leygues donne la possibilité aux OE de se former sur deux types de bâtiments différents.
Les OE pourront ainsi appréhender l’organisation d’un grand bâtiment de combat, ainsi que les mises en situation opérationnelle dans un cadre interallié.
Ils devront apporter un soutien associé pour les opérations en cours dans les zones de déplacement que sont la Corne de l’Afrique et le golfe de Guinée (voir carte 2e de couverture). La dimension internationale de la mission offre donc aux jeunes l’occasion de s’ouvrir sur le monde. La pédagogie quant à elle s’appuie sur un rythme de navigation soutenu et l’enchaînement rapide d’activités maritimes et amphibies. L’objectif à terme est de donner aux futurs officiers une stature de chef militaire et d’homme de mer.

CV Jean-Marin D'Hébrail, commandant du Georges Leygues

CV Jean-Marin D'Hébrail, commandant du Georges Leygues

Des conditions très favorables

 

Au-delà du programme pédagogique, la formation des officiers s’appuie sur l’équipement moderne du Dixmude. Le bâtiment accueille les OE dans de bonnes conditions matérielles. Pour assurer la mission Jeanne d’Arc 2012, la zone de l’état-major du BPC a été modulée. Elle comporte ainsi quatre salles de briefing, une salle de conférence et une salle de planification  avec accès aux réseaux informatiques.
Enfin, face à la féminisation croissante des équipages depuis près de vingt ans, les jeunes femmes bénéficieront de bonnes conditions d’hébergement au sein du Dixmude. En parallèle avec la formation des OE, l’équipage effectuera la dernière phase d’évaluation des capacités militaires du BPC Dixmude. Ainsi, à la suite de ces essais, ce dernier pourrait être admis au service actif (ASA) au sein de la flotte française. La Marine fait d’une pierre deux coups en déployant les jeunes officiers sur un bâtiment non ASA. Pour autant, à aucun moment la formation des futurs officiers n’est délaissée.
En effet, l’équipage du Dixmude effectue actuellement sa mise en condition opérationnelle afin d’être hautement qualifié pour la mission Jeanne d’Arc 2012.
Le Dixmude devrait rentrer à Brest avant la fin du mois de juillet. À l’issue de cette longue mission, les officiers-élèves partiront en stage avant de rejoindre leur première affectation

COMPOSITION DES EFFECTIFS DE LA MISSION JEANNE D’ARC 2012

CV Guillaume Goutay, Commandant du Dixmude

CV Guillaume Goutay, Commandant du Dixmude

144 élèves (dont 21 femmes) issus de tous corps d’officiers participent à cette mission :
• 94 enseignes de vaisseau issus de l’École navale (promotion 2009)
• 8 commissaires élèves (promotion 2008-2010)
• 6 administrateurs des affaires maritimes
• 9 médecins des armées
• 16 officiers-élèves et 1 commissaire-élève étrangers
• 10 sous-lieutenants des écoles de Saint-Cyr et Coëtquidan embarqués pour la première partie de la mission

 

ASP. MARGOT PERRIER

Cols Bleus n°2986

Cols Bleus n°2986

 

COLS BLEUS®N°2986®11 FÉVRIER 2012®23

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La Mission Jeanne d’Arc se prépare… et se précise.

Carte Mission Jeanne d'Arc 2012

Carte Mission Jeanne d'Arc 2012

Partir loin, longtemps, en mission et en équipage, le 5 mars 2012, le Bâtiment de Projection et de Commandement Dixmude et la frégate anti-sous-marine Georges Leygues appareilleront de Toulon pour la Mission Jeanne d’Arc 2012. À bord, 144 élèves dont 21 femmes, issus de tous corps d’officiers pour une mission alliant formation et opérations.
Conduite par le BPC Dixmude et la FASM Georges Leygues , la Mission Jeanne d’Arc sera déployée dans un contexte interarmées et interalliés jusqu’en juillet 2012 en océan Indien et océan Atlantique Sud. Cette mission de formation constitue le premier déploiement de longue durée ainsi que le premier contact avec le contexte opérationnel pour les officiers-élèves de l’École navale et de l’École du commissariat de la Marine. Il s’agit pour ces futurs officiers d’acquérir une stature de chef militaire et d’homme de mer, grâce à la pratique du métier et à l’expérience de la prise de responsabilité en s’immergeant au cœur des services des deux bâtiments de la Marine nationale et de leurs détachements.
FASM Georges Leygues

FASM Georges Leygues

Les 144 officiers en formation participeront pleinement aux missions confiées au groupe Jeanne d’Arc. Avant d’exercer leurs futures responsabilités d’officier au sein des forces, cet apprentissage leur permettra de « larguer les amarres ». Pour devenir des représentants de l’engagement de la France dans le monde, ils devront être capables de comprendre et d’expliquer la présence et l’action d la France dans les zones traversées et d’en apercevoir la dimension maritime. La rencontre avec les populations et les forces armées des pays visités ainsi que les échanges avec les acteurs économiques et les diplomates leur permettront de mesurer concrètement la complexité et à la richesse du monde dans lequel ils vont évoluer.
BPC Dixmude

BPC Dixmude

Article du 9 février 2012 extrait du site Marine Nationale

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